Une question, une recherche de disponibilité, écrivez-nous !

Qui sommes-nous ?

Céline a beaucoup de chance ! Elle a hérité d’un rêve, celui des ses parents, qu’elle a fait grandir. Ce rêve s’appelle La maison des Lamour et se trouve à Plélo en Bretagne. Il est encore inachevé, car Céline est volcanique et passionnée. Et puis, comment résister à la beauté ? C’est ce que nous montre son histoire.

Faire une longue promenade dans la nature et respirer à plein poumons, s’arrêter pour un apéritif ou un repas, goûter et choisir les produits locaux à rapporter à ceux qui nous attendent à la maison et enfin reprendre son chemin : voilà à quoi ressemble une ferme auberge en France, aménagée pour l’accueil d’hôtes. Céline, architecte d’intérieur après une formation de cinq ans à Paris, a eu la chance d’en hériter par ses parents, et de pouvoir la gérer et la développer avec ses sœurs. Un projet qui a donné naissance à un second encore plus ambitieux.
« Reprenons l’histoire à ses débuts : mes parents ont créé la ferme auberge en 1971, et en 1987, une seconde ferme est venue s’ajouter à la première. Elle se trouve à 500 m seulement, et nous l’avons transformée en chambres d’hôtes en 1991: La Maison de Lamour. "Je m’occupe avec mes soeurs de ce restaurant et je gère moi-même La Maison de Lamour», nous explique Céline, qui a également hérité de ses parents l’esprit d’entreprise et l’amour de la récupération.

Dans l’ensemble, les travaux de réaménagement ont été longs et laborieux, en partant de l’isolation des murs jusqu’à la remise en état des plafonds, des planchers, et à l’utilisation de chaux et de chanvre pour les nouvelles structures, tandis que la partie de décoration a été facilitée par la tradition familiale : la récupération. « Comment pouvait-il en être autrement avec une maman brocanteuse ? », plaisante Céline, en nous montrant les nombreux meubles dénichés sur les marchés aux puces et repeints. « Les quelques pièces achetées ont été choisies avec un soin minutieux, en privilégiant des lignes simples et classiques qui se marient bien avec les meubles récupérés. Par exemple, nous avons équipé les cuisines chez un cuisiniste, car le modèle était très sobre. Pour le reste, la décoration porte surtout sur les matériaux, en particulier le bois et le verre. De grandes baies vitrées, en effet, s’ouvrent sur la vallée. « J'aimais l’idée que la maison soit complètement immergée dans la nature », poursuit la maîtresse de maison qui, en bon architecte, a su associer les différents éléments en jouant sur les couleurs.

Chaque chambre est décorée autour d’une couleur, que ce soit le blanc, le rouge, ou une autre, fidèlement respectée au moins pour ce qui concerne le mobilier de base.Les détails, les objets et les inspirations viennent s’insérer avec naturel, sans trop se poser de questions. Ce qui compte, c’est que ce soient des pièces simples, avec une belle histoire. C’est pour cela qu’il m’est difficile de donner un nom au style de ces pièces. Il ne s’agit pas d’un style préétabli, mais plutôt de celui que j’obtiens. Je pourrais appeler ce style campagne déco chic, mais avec des accents forts, qui attirent le regard et communiquent des sensations ».

Si les travaux de restructuration peuvent être considérés comme achevés, l’aménagement n’est jamais terminé, comme l’admet Céline : « La décoration des chambres est toujours en devenir, cela dépend beaucoup de mes coups de cœur », plaisante-t-elle encore, en faisant allusion à sa passion pour les antiquités, en particulier sur le thème sacré. « J’adore les tableaux avec des visages de saints, je trouve qu’ils ont des expressions merveilleuses, et si j’en vois un perdu sur un marché aux puces, peut-être un peu maltraité par les années, je ne peux m’empêcher de l’acheter. Je sens son histoire se connecter à la mienne, et je me retrouve déjà à négocier le prix ». La malédiction des objets... quel mystère !

Si vous cherchez Auguste, qui connait la vallée mieux que personne, vous le trouverez avec un livre en haut du grand châtaigner, à moins qu’il ne soit à construire des cabanes avec Rose sa petite sœur !

Rose est devenu grande pour monter dans les arbres de cette vallée enchantée, elle fait aussi avec plaisir des promenades en poneys, et aide parfois sa maman au petit-déjeuner.

Papi Jean-Paul, lui est partout à la fois, au four et au moulin, là où son expérience et les différentes tâches le conduisent.

Il y a aussi bien sûr tata Jeanne-Noëlle, et tonton Claude, tata Louise et tonton Guillaume, tata Liz et tonton Corentin, et toute la ribambelle des cousins : Agathe, Théo, Jonas, Malo, Dara, Molly, Eliaz, Una, Roísin, Liv et Léone. Tout ce petit monde veille au grain de ce paisible lieu !